Dans ma tête tu reviens en boucle,
ce moment juste avant, le big boom.
J’attrape ta nuque avec mon souffle,
on s’effleure avec les yeux.
Alors l’air nous agrippe, tels deux aimants.
Tels deux aimants nos atomes amants,
s’aiment déjà et c’est dément.
Ce bout de toi m’envoie à nous presque nues.
En émoi de toi.
En un éclair, ton col, sur ton cou défaire.
De ma pulpe effleurer la peau. De l’épaule diffuser la toile
de l’attraction dans toutes les zones de ton plaisir.
Et à ton cou suspendu, au carrefour de nos envies,
t’offrir mes lèvres dans la chaleur de l’abandon,
profondément, dans un état second, t’embrasser
et puis glisser.
Ta nuque, c’est mon déclic, le départ la clé de mes pensées. Magique.
Ta nuque, c’est mon déclic, le départ la clé de mes pensées, magique.
T’es mon moment hors du temps, mon aimant brûlant, mon imaginaire à nue.
L’image liminaire qui dénoue mes nuits, me noue d’envie, de toi, m’envoie sur toi je joue,
À nous la nuit.
Ce bout de toi m’envoie à nous presque nues.
En émoi de toi.
Ce bout de toi m’envoie à nos presque nues.